L’origine africaine de l’Homo sapiens fait largement consensus, mais les circonstances qui ont présidé à l’apparition de l’espèce continuent d’alimenter les doutes et les théories de toutes sortes.
Par quoi l’éDZܳپDz du crocodile est-elle régie? Le climat? La montée ou la baisse des océans? Déterminés à trouver réponse à cette question, des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ ont constaté que la variation des températures et de la pluviosité avaient eu peu d’effets sur le flux ééپܱ des crocodiles au cours des trois derniers millions d’années, mais qu’il en allait tout autrement de la variation du niveau de la mer pendant la période glaciaire.
Des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ ont réussi à fixer des brins d’ADN à la surface de particules DZ⳾è; une technique qui pourrait ouvrir la voie à la mise au point de nouveaux matériaux destinés à des applications telles que la bioéԱ et la robotique souple, un nouveau domaine prometteur.
Dans leur étude publiée dans la revue ٳٰܰ, les chercheurs décrivent une méthode permettant de créer des particules DZ⳾è asymétriques qui se lient entre elles de manière définie dans l’espace, tout comme les atomes forment les molécules.
Cynthia Lee, ۲ݮƵ Salle de presse
L’épiééپܱ pourrait nous rapprocher de traitements plus efficaces contre la douleur chronique
La douleur chronique pourrait reprogrammer le fonctionnement des gènes dans le système immunitaire. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ et publiée dans Գپھǰٲ.
Imaginez pouvoir prendre des brins d’ADN – le matériau qui se trouve dans nos cellules et qui détermine notre apparence et notre fonctionnement – et les utiliser pour construire de minuscules structures capables d’acheminer des é徱Գٲ vers des endroits ciblés du corps ou d’élever la miniaturisation électronique à un tout autre niveau.
Des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ ont mis au point une nouvelle méthode abordable permettant de construire des nanotubes d’ADN à l’aide d’une matrice bloc sur bloc. Cette percée pourrait ouvrir la voie à la conception d’échafaudages à partir de brins d’ADN pouvant ensuite être appliqués à la création de dispositifs optiques et électroniques ou de systèmes intelligents de libération de é徱Գٲ.
Dans le cadre d’une nouvelle étude dont les résultats ont fait l’objet d’un article publié en ligne le 1er septembre 2013 dans la revue Nature Chemistry, des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ ont découvert que des « cages » nanométriques composées de brins d’ADN peuvent encapsuler de petites molécules médicamenteuses et les libérer en réaction à certains stimuli.
Les récentes avancées technologiques en génomique ont permis de mettre en lumière un grand nombre d’influences ééپܱs sur des maladies humaines complexes et communes telles que le diabète, l’asthme, le cancer ou encore la schizophrénie. Cependant, la découverte d’une variante ééپܱ prédisposant à une maladie n’est que la première étape. Pour mettre ces connaissances scientifiques en pratique dans une optique de prévention ou de cure, incluant un traitement “sur mesure” pour le profil ééپܱ donné d’un patient (éԱ personnalisée) nous devons comprendre comment cette variante ééپܱ affecte notre Գé.
Les expériences vécues au début de la vie donnent lieu à d’importantes modifications sur le marquage chimique épiééپܱ du cerveau, selon des chercheurs de l’Université ۲ݮƵ. Ces modifications sont causées par une fine couche de composés chimiques appelés groupes méthyles. Une équipe de chercheurs dirigée par e professeur Moshe Szyf, professeur de pharmacologie et de thérapeutique à la Faculté de éԱ, en collaboration avec des chercheurs de l’Institut universitaire en Գé mentale Douglas, a découvert une profonde similarité dans la façon dont l’ADN des cerveaux humain et animal réagit à l’adversité en début de vie. Les données recueillies semblent indiquer qu’un mécanisme évolutif en réponse aux difficultés éprouvées en bas âge ait une incidence sur un grand nombre de gènes dans le génome.