Début d’une nouvelle ère
« J’ai Ă©tĂ© choyĂ© de connaĂ®tre du succès avec mon entreprise et j’aspirais Ă faire Ĺ“uvre de pionnier en apportant ma contribution dans un domaine important, mais nĂ©gligĂ©, de la philanthropie, a expliquĂ© M. Ingram. Je voulais consacrer mes efforts Ă l’enseignement universitaire en sciences infirmières Ă MontrĂ©al qui, Ă mon avis, est largement sous-financĂ© et gĂ©nĂ©ralement peu reconnu par les organismes subventionnaires privĂ©s et publics. Je rĂŞve au jour oĂą MontrĂ©al deviendra l’un des cinq chefs de file mondiaux en matière de dĂ©veloppement de la profession infirmière. »Â
« Nous sommes profondĂ©ment reconnaissants envers M. Ingram pour cet investissement porteur de changement qui nous permettra de continuer Ă tracer la voie en matière d’exercice de la profession infirmière Ă l’échelle mondiale, a soulignĂ© la professeure Heather Munroe-Blum, principale et vice-chancelière de l’UniversitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ. Notre École des sciences infirmières a Ă©tĂ© au premier plan en matière de formation d’infirmières depuis sa fondation, il y a près de 100 ans. La gĂ©nĂ©rositĂ© de M. Ingram permettra Ă l’École des sciences infirmières Ingram de mettre davantage l’accent sur la recherche transdisciplinaire dirigĂ©e par des professionnels des sciences infirmières et de promouvoir et faciliter la pratique de soins infirmiers Ă©tayĂ©s par des donnĂ©es probantes afin de rĂ©pondre aux besoins des patients et de leurs familles, au QuĂ©bec et ailleurs. »
La nouvelle Initiative de collaboration en sciences infirmières permettra au personnel infirmier Ĺ“uvrant dans diverses sphères – pratique clinique, Ă©ducation, recherche, gestion et formation aux cycles supĂ©rieurs Ă ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ – et aux hĂ´pitaux d’unir leurs efforts afin de combler les lacunes les plus criantes au sein de notre collectivitĂ©. Cette initiative vise Ă©galement Ă accroĂ®tre le leadership du programme d’études supĂ©rieures en sciences infirmières de ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ, en augmentant le nombre d’admissions, ainsi qu’en recrutant davantage d’infirmières cliniciennes spĂ©cialisĂ©es et de chercheurs en milieu hospitalier. La nouvelle Chaire de recherche Susan E. French – Ă©tablie en l’honneur d’une ancienne directrice de l’École des sciences infirmières – a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans le but de soutenir ce nouveau programme. Le professeur Sean Clarke, qui devient Ă©galement directeur de l’Initiative de collaboration en sciences infirmières de l’UniversitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ, en est le premier titulaire.
« L’École des sciences infirmières de ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ jouit dĂ©jĂ d’une longue tradition d’excellence, grâce Ă ses programmes de formation en pratique clinique et en recherche – et ce, du niveau du baccalaurĂ©at jusqu’à celui des Ă©tudes postdoctorales –, ainsi qu’à son groupe d’éminents chercheurs, a indiquĂ© le professeur Clarke. Ă€ titre de titulaire de cette chaire, je m’appuierai sur cette solide communautĂ© afin de renforcer les liens entre les volets d’enseignement, de recherche et de pratique clinique au sein de la profession infirmière afin d’accroĂ®tre le rayonnement de nos programmes de recherche et d’enseignement, ainsi que celui de nos modèles de pratique clinique, au Canada et dans le monde. » Â
« Cet investissement reprĂ©sente un jalon important dans l’histoire des sciences infirmières au sein de notre facultĂ©, a prĂ©cisĂ© le Dr David Eidelman, vice-principal (santĂ© et affaires mĂ©dicales) et doyen de la FacultĂ© de mĂ©decine de l’UniversitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ. Depuis sa crĂ©ation, l’École est toujours demeurĂ©e Ă l’avant-garde et continue d’innover et de connaĂ®tre une croissance exceptionnelle grâce Ă ses programmes d’études supĂ©rieures et Ă ses projets multidisciplinaires qui ciblent les besoins de la collectivitĂ©, tant au QuĂ©bec qu’ailleurs dans le monde. Le rĂ´le de la profession infirmière ne cesse de s’accroĂ®tre au sein de notre système de soins de santĂ©, et ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ, en collaboration avec ses partenaires, est fière d’être Ă l’avant-garde du changement. »Â
Cet investissement vient s’ajouter Ă l’octroi de 35 millions de dollars annoncĂ© rĂ©cemment par le gouvernement du QuĂ©bec pour la rĂ©novation et la modernisation du Pavillon Wilson, qui abrite l’École des sciences infirmières Ingram de l’UniversitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ, ainsi que son École de travail social.
À propos de Richard S. Ingram Après avoir œuvré pendant cinq ans dans le domaine du développement international en Amérique latine, M. Richard S. Ingram a cofondé Archivex en 1973. Vendue en 1999, l’entreprise se classait alors au quatrième rang des plus importantes sociétés d’archivage de dossiers (et au premier rang des entreprises privées dans ce secteur d’activité) en Amérique du Nord. M. Ingram a choisi d’investir une partie des profits générés par la vente d’Archivex dans la création de la Fondation Newton, qui soutient l’enseignement universitaire en sciences infirmières à Montréal afin de faire de cette dernière l’un des cinq chefs de file mondiaux dans ce domaine. L’épouse de M. Ingram, Satoko, consacre temps et ressources financières au projet LOVE (Vivre sans violence). M. Ingram est titulaire d’un baccalauréat ès arts spécialisé en sciences politiques et économie (avec distinction) de l’Université de Toronto, ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Harvard.
Ă€ propos du professeur Sean ClarkeSean Clarke est infirmier chercheur et professeur spĂ©cialisĂ© en politiques de la santĂ© et en questions de qualitĂ© et sĂ©curitĂ© des hĂ´pitaux. Après avoir obtenu son doctorat de ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ, en 1998, il a Ă©tĂ© professeur de sciences infirmières Ă l’UniversitĂ© de Pennsylvanie et Ă l’UniversitĂ© de Toronto. Il a dirigĂ© des groupes de recherche sur les services de soins de santĂ© Ă ces deux institutions.
Pour en savoir plus sur l’UniversitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ : /newsroom/fr.  Â