Dear students,
On several occasions in recent weeks, student associations representing ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ students have released statements strongly espousing particular positions on international political issues. I have heard from many of you that these statements – and the tone and nature of the debate that has ensued – have left you feeling unwelcome, unheard, and unrepresented.
I have been engaged in ongoing discussions with our student associations about the polarizing nature of such statements, and the importance of considering the varied viewpoints and identities of their membership. I made the point that the prime responsibility of student associations is to the full membership that supports them, a responsibility that is not reflected in the latest statements. I would like to ensure that it is clear that student associations are independent legal entities separate from the University. We do not and cannot control their communications or political stances, and these stances should not be interpreted as a reflection of those of the University administration, or of the ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ community as a whole.
Freedom of speech and the ability to express and debate different – and often opposing – views are fundamental aspects of higher education. This being said, it is essential that these debates be mindful of our shared commitment to respect and inclusion. It is up to us as a broader ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ community to work together to create an environment in which everyone feels included and valued. I encourage us all to lead with kindness and consideration, to make room for each other’s ideas, to disagree with respect, and to listen with empathy.
Sincerely,
Fabrice Labeau
Deputy Provost (Student Life and Learning)
Chères étudiantes et chers étudiants,
À plusieurs reprises au cours des dernières semaines, nos associations étudiantes représentant des étudiantes et étudiants de ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ ont publié des déclarations défendant avec fermeté certaines positions concernant des questions de politique internationale. Beaucoup d’entre vous m’ont dit que ces déclarations — ainsi que le ton et la nature du débat qui s’en est suivi — vous ont donné le sentiment de ne pas être les bienvenus, de ne pas être entendus et de ne pas être représentés.
J’ai amorcé un dialogue avec nos associations étudiantes à propos de la nature polarisante de ces déclarations et sur l’importance de prendre en considération les différents points de vue et la diversité des identités de leurs membres. J’insiste sur le fait que la responsabilité des associations étudiantes est principalement à l’égard des membres qui les composent, et que cette responsabilité est absente des plus récents énoncés. J’estime qu’il est important de préciser que les associations étudiantes sont des entités juridiques indépendantes et distinctes de l’Université. Nous ne contrôlons pas et nous ne pouvons pas contrôler leurs communications ou leurs positions politiques. Ces positions ne doivent pas être interprétées comme le reflet de celles de l’administration de l’Université, ou de la communauté de ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ dans son ensemble.
La liberté d’expression et la possibilité d’exprimer des points de vue différents et d’en débattre — quoique souvent opposés — sont des aspects fondamentaux de l’enseignement supérieur. Cela étant dit, il est essentiel que ces débats tiennent compte de notre engagement commun en faveur du respect et de l’inclusion. Il nous appartient, en tant que communauté élargie de ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ, de travailler ensemble pour créer un environnement dans lequel chacun se sent inclus et valorisé. Je nous encourage tous à agir avec bienveillance, à faire place aux idées des autres, à être en désaccord dans le respect et à écouter avec empathie.
Cordialement,
Fabrice Labeau
Premier vice-principal exécutif adjoint (études et vie étudiante)