« À la fruiterie du coin, je saute systématiquement sur l’ail du Québec », avoue Jean-Benoit Charron, chercheur à l’Université ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ. Avec la demande grandissante pour les produits du terroir, l’ail québécois est très prisé des consommateurs. Il se démarque par son goût, sa durée de conservation et sa faible teneur en pesticides. Pourtant, sa production demeure marginale. La raison : le manque de pureté des semences.