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Le diagnostic Ă©quitable de la chlamydia et de la gonorrhĂ©e Ă  l’échelle mondiale est l’objectif de Fio Vialard, stagiaire Ă  l’universitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ

Son article publiĂ© dans BMJ Sexually Transmitted InfectionsĚýva aider les dĂ©cideurs politiques Ă  personnaliser les stratĂ©gies de dĂ©pistage en offrant des options d’auto-Ă©chantillonnage

Fio Vialard, qui fait des Ă©tudes de maĂ®trise en Ă©pidĂ©miologie Ă  l’universitĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ et qui est stagiaire Ă  l’Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ (IR-CUSM), a rĂ©cemment publiĂ© une analyse systĂ©matique dans ; cet article renferme une application prometteuse permettant le dĂ©pistage de la chlamydia et de la gonorrhĂ©e dans les mĂ©thodes diagnostiques. De nombreux organismes de santĂ© ont rĂ©servĂ© un accueil favorable Ă  cette analyse, qui leur offre des donnĂ©es pouvant ĂŞtre utilisĂ©es dans leurs politiques. Cette analyse a Ă©tĂ© financĂ©e par l’alliance mondialeĚý, Ă©tablie Ă  Genève, en Suisse. Cet organisme favorise les partenariats offrant des tests diagnostiques abordables des maladies dans les pays Ă  faible revenu ou Ă  revenu moyen.

Fio Vialard travaille sous la direction de la , MD, Ph. D., mĂ©decin chercheuse au sein du ĚýĂ  l’IR-CUSM, oĂą iel mène des recherches au Centre de recherche Ă©valuative en santĂ©. Des organismes importants ont invitĂ© cette Ă©quipe de chercheurs Ă  animer l’automne prochain un webinaire visant Ă  former des professionnels sur cette approche d’auto-Ă©chantillonnage prometteuse.

«ĚýLa chlamydia et la gonorrhĂ©e, qui sont deux infections sexuelles courantes d’origine bactĂ©rienne, sont encore Ă  l’origine de plus de 200 millions cas d’infections chaque annĂ©e, dĂ©clare Fio Vialard. Notre analyse propose des donnĂ©es probantes sur les forces et limites des stratĂ©gies d’auto-Ă©chantillonnage utilisĂ©es dans diverses populations clĂ©s. Ces stratĂ©gies peuvent ĂŞtre personnalisĂ©es et, heureusement, elles ont aussi le potentiel d’éliminer ces deux infections Ă  l’échelle mondiale dans un avenir rapprochĂ©.Ěý»

«ĚýGrâce aux avancĂ©es mondiales de l’auto-Ă©chantillonnage pour le VIH et la COVID-19, la population accepte maintenant davantage les stratĂ©gies d’autotests, ajoute la Dre Pant Pai. L’auto-Ă©chantillonnage pour les infections courantes dont souhaitent disposer les communautĂ©s ajoute au rĂ©pertoire d’options que les patients prĂ©fèrent. L’auto-Ă©chantillonnage confère davantage d’autonomie aux patients; il offre aussi des options supplĂ©mentaires permettant de gagner du temps, qui bĂ©nĂ©ficient directement aux patients et aux collectivitĂ©s. L’analyse qui vient d’être publiĂ©e propose des donnĂ©es probantes solides, qui favoriseront le dĂ©veloppement des stratĂ©gies d’auto-Ă©chantillonnage.Ěý»

Lire le rĂ©sumĂ©Ěý:ĚýĚý(StratĂ©gies d’auto-Ă©chantillonnage (avec/sans innovations numĂ©riques) chez les populations Ă  risque d’être atteintes deĚýchlamydia trachomatisĚýou deĚýNeisseria gonorrhoeaeĚý(gonocoque)Ěý: une analyse systĂ©matique et une mĂ©ta-analyse) (en anglais seulement)

Photo: Fio Vialard, qui fait des Ă©tudes de maĂ®trise en sciences, est stagiaire Ă  l’Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© ÎŰÎ۲ÝÝ®ĘÓƵ et effectue des recherches en Ă©pidĂ©miologie au Centre de recherche Ă©valuative en santĂ©.

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