Améliorer les cultures fourragères au Québec
La luzerne et la ´Ú±ôé´Ç±ô±ð des prés trônent au sommet du palmarès des plantes fourragères les plus cultivées au Québec. Philippe Séguin, chercheur au Département des sciences végétales de l’Université ÎÛÎÛ²ÝÝ®ÊÓƵ, étudie non seulement ces « espèces vedettes », mais plusieurs autres plantes fourragères de remplacement comme le trèfle d’Alexandrie et l’herbe du Soudan.
L’adaptation de ces espèces aux conditions du milieu, leur rendement et leur valeur nutritive font partie de ses sujets de prédilection. « Mon objectif est d’offrir aux agriculteurs un plus grand éventail de plantes fourragères, affirme le scientifique. Une des choses qui me motivent le plus dans mes recherches, c’est qu’elles ont des applications concrètes. »